Sous le thème « Tisser les liens : le narratif africain à travers l’art », ce festival vise à promouvoir la culture et les arts considérés comme la cheville ouvrière du développement du Bénin.  Cotonou, Porto-Novo et Ouidah accueillent depuis ce 21 février la troisième.

Un « carrefour de rencontres, de découvertes et d’émotions partagées », la cérémonie de lancement présidée par le ministre du Tourisme de la Culture et des Arts Jean-Michel Abimbola donne le feu vert aux différents participants d’explorer les richesses artistiques, touristiques et culturelles du Bénin. Selon le ministre Abimbola, « l’art, c’est ce fil invisible qui relie les âmes. Il est l’espace privilégié pour célébrer la beauté et partager les émotions ».

Pendant dix (10) jours, une programmation richement renforcée et diversifiée attend les festivaliers venus de part et d’autre. Alors, jusqu’au 03 mars 2025 ce sera des expositions d’art contemporain ; des spectacles de danses, de théâtrse, de modes ; des concerts mais aussi et surtout l’animation d’un marché d’art rassemblant plus de 500 exposants.

Cotonou, mais également Porto-Novo et Ouidah pour une valorisation de l’art et de la culture des différentes régions du Bénin, à en croire le promoteur du FInAB, Ulrich Adjovi, « en ancrant le festival dans plusieurs villes, nous renforçons les liens entre les artistes et les communautés. L’art est un vecteur de transformation ».

Des artistes et délégations sont également venus de plusieurs pays de la sous-région, de la France et de la Belgique. Le Festival International des Arts du Bénin ( FInAB) positionne davantage le pays sur la scène internationale et promeut par la même occasion la destination Bénin.